11 thoughts on “Case 210212”
  1. Ben ouais en voilà une idée qu’elle est bonne, mais ça existe pas déjà ?
    C’est pas le principe des associations ou collectif BD ? (en fait je vois pas trop le fonctionnement d’une coop’ faudrait que j’aille me renseigner un peu là-dessus, j’entends de plus en plus ce terme)
    Mais du coup comment fais-tu pour promouvoir l’œuvre de l’artiste, c’est uniquement via le web ?

  2. C’est compliqué et j’en ai déjà beaucoup débattu avec certains comme Cil Vert.
    Se passer de diffuseur fait une grosse économie, mais génère des problèmes.
    Après y’a plein de formules possibles (par exemple : les auteurs paient leur livre et se regroupent en « coop » pour les distribuer et rentrer dans leurs frais avec une marge qui laisse rêveur)
    Ou sinon le mode « asso », ou le collectif prend un pourcentage de gestion.
    Reste le problème de visibilité, de s’imposer en salon, et tout cela est valable que sur des ouvrages à moins de 1000 ou 500 ex.
    Après y’a des auteurs qui roulent en solo, financent leur livre et passent leurs WE en salons pour écouler et se remboursent direct. Certains arrivent à vivre doucement avec cette méthode « alimentaire », où il faut laisser par contre ses envies de gloire de côté.
    Enfin bon on pourrait en débattre des heures !^^

  3. J’ai ce genre de discussion avec Cil Vert depuis des mois, mais j’estime qu’il me faut plus d’expérience et de réseau si jamais je veux me lancer là-dedans. C’est pas le bon moment.
    Ensuite, si d’autres le font (à savoir toi, Grigou etc), et bin tant mieux.
    Ca doit nous interdire de le faire ?

  4. Carrément je vois ça d’ici :
    On sort nos BD entre 200 et 500 ex. Dès qu’un auteur part vendre des BD sur un salon il prend aussi les ouvrages de ses petits camarades (2-3 de chaque) il se fait de la thune en vendant ses BD et en vendant les albums de ses petits copains. C’est tout bénéf pour tout le monde et on à l’air moins con sur un stand en défendant plusieurs BD que juste la notre.
    Un point de ralliement? Grigou est en train de se faire un magasin dans le 12ème pour exposer des auteurs et vendre de l’autoédition. Ça pourrait être un endroit parfait pour laisser un peu de stock.
    Un endroit pour en parler? Le magazine RAV nom d’une pipe molle d’évêque!
    Soyons réalistes… exigeons l’impossible!
    Le Cil Vert, l’homme qui parle trop, qui écrit trop, trop c’est trop c’est tropico…

  5. Ah tiens j’ai une autre bonne idée complètement débile :
    On propose à Francis Groux (fondateur d’Angoulême) de créer un prix à Angoulême pour les BD auto-éditées…
    Ça nous motivera à nous lancer dans l’auto-édition… ça nous permettra de rencontrer les gens qui en font…
    Un Auto-Fauve… ou un Fauve à sion… un Fauvédité…
    Euh… pas mieux…
    Le Cil Vert, breveté poulet de l’année

  6. Non, ça vous interdit pas. J’ai pas dit ça, bien au contraire. Mais venez en parler avec ceux qui essayent, vous allez voir, les problèmes qu’on rencontre ne sont pas ceux qu’on pourrait croire.
    Pour le magasin de Grigou, on a déjà prévu des choses pour l’exploiter à fond. Dès qu’on sort un peu tous la tête du sable.
    Mais c’est sûr que ces putain de 70% distributeur, ils font rêver.

  7. Ah bin je pense que Cil Vert, Hibi et moi-même serions ravis de partager nos réflexions aux vôtres, d’autant que vous êtes plus avancés dans le concret, alors que nous avons simplement beaucoup parlé de notre côté. Peut-être que nous avons soulevé des problèmes différents chacun de notre côté. Même si je ne suis pas encore prêt à sauter le pas, parce que je ne peux pas être sur tous les fronts, l’alternative m’intéresse.
    D’un point de vue global, toute alternative qui bénéficie à l’auteur et court-circuite le racket du diffuseur, m’intéresse.

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