Second interlude dans la BD, histoire de respirer un poil…
Second interlude dans la BD, histoire de respirer un poil…
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Ah purée… C’est exactement ça.
Quand j’ai fais une mon mémoire sur le trouble qui me touche, on me gratifiait de partout, et ma mère n’a rien trouvé de mieux à dire que « Mouais… Là c’est une anecdote non ? Et là aussi, et là ».
C’est pas forcément de l’indélicatesse ou du désintérêt. M’est avis que les proches, la famille, sont parfois les moins bien placés, les plus maladroits, les plus gênés, simplement parce qu’ils nous aiment.